2022, 11, Press

Aux jours inoubliables, ils/elles en parlent
Ce livre est le fruit d’un long travail silencieux et humble parmi des enfants et la nature sauvage
des montagnes ariégeoises. C’est un travail tendre et bouleversant. C’est un livre solide et simple
comme un toit, une forêt, une rivière, un sourire, une larme. Un roman d’images et de souffles, un livre que l’on veut mettre dans son bagage lorsque l’on s’en va, loin. Une main ouverte contre le ciel, le regard de l’enfant comme un seul soleil.
Michaël Blin, novembre 2022

2022, 10, Press

Dysnomia dans la presse

L’INTERVALLE BLOG de Fabien Ribéry
Octobre 2022

“Où est-on ?
Quelque part entre le romantisme noir de Gérard de Nerval,
les expérimentations sciences-fictionnelles de Chris Marker et le polar métaphysique façon Alphaville,
de Jean-Luc Godard. Quelque part entre les nuées et les royaumes aquatiques, entre la glace et le feu,
entre le végétal et le minéral.
Il faut se perdre pour se trouver, s’abîmer pour se réveiller.”
(…)

2022, 01, Press

"The Eclipse" dans la presse
FRANÇAIS / ENGLISH

MAGAZINE « POLKA »
Printemps 2022 / chronique
Dix ans de travail argentique sont compilés dans ce livre (…) d’une densité envoutante qui nous plonge dans un chaos urbain presque métaphysique. Au terme d’une séquence d’images optimiste où la lumière perce l’omniprésent voile opaque, le spectre de l’apocalypse flotte pourtant, telle une épée de Damoclès.

REVUE « PERSONA »
N°18 / Hiver 2022 / 3 pages / entretien avec Frédéric Lemaître
Déchirement humain et cris dans la nuit : l’univers de Stéphane Charpentier convoque l’homme dans sa tourmente intérieure face au chaos d’un monde en perdition. Alors chaque particule de sa photographie argentique tombe sur nos paupières afin de pénétrer notre conscience et nous laisser en éveil : « Le livre fait voir l’homme à la dérive dans ce tumulte et cette noirceur, mais il affirme aussi la beauté de la résistance humaine. »

Article sur The Eclipse paru dans Compétence Photo
Janvier 2022
“Empreintes d’une énergie aussi improbable qu’impénétrable, ses images n’ont de cesse de nous balloter entre des sentiments opposés, de l’évasion aérienne enchanteresse à l’amère magnétisation de troubles abyssaux. Faut il y entrevoir le cri de l’impuissance ou au contraire l’appel à une réinvention existentielle ?”

Chronique du livre The Eclipse sur le blog 5ruedu.fr par Frédéric Martin
20 décembre 2021
“Il faut lire The Eclipse. Complètement. Prendre son temps, son souffle, retenir une longue respiration et plonger. Parce que cet ouvrage n’est pas qu’un livre de photos. Parce que cet ouvrage nous perdra dans un labyrinthe de questions, avant que de nous amener juste à l’aplomb de l’astre solaire.”
Article de Jean-Jacques Farré sur The Eclipse dans la revue LIKE / touslesjourscurieux
14 décembre 2021
“Les photos de Stéphane Charpentier sont savamment calibrées, proche de l’hypnose visuelle. Elles conjuguent une force onirique et un sens du politique.”

Article de Caroline Bénichou à propos de The Eclipse et de l’oeuvre de Stéphane Charpentier paru dans 9livesmagazine
24 novembre 2021
” Il y a des livres qu’on attend. Longtemps.
Là où d’autres se satisfont et se précipitent une fois trente photographies rassemblées, il est des photographes qui prennent le temps. Celui de sélectionner avec exigence, de savoir le pourquoi ce livre, de faire la rencontre avec l’éditeur qui saura saisir l’intention, l’écriture, l’homme, avec qui la connivence donnera lieu à un projet qui fasse sens. L’exigence n’est pas si fréquente.”

1er article sur The Eclipse paru dans L’Intervalle de Fabien Ribéry
16 novembre 2021
“Stéphane Charpentier a composé son livre comme on invente une musique d’initiation pour traverser le démoniaque. La rue et les cœurs brûlent, l’étendard n’est pas celui de la militance mais de la poétique absolue, l’Europe est une eau grecque irisée un matin de printemps, nous tentons de recréer de nouveaux rites sacrés sur les décombres des civilisations asphyxiées. En fin d’ouvrage, la retranscription sur de nombreuses pages d’entretiens enregistrés menés pendant des années par le photographe disent la fatigue, la peur du lendemain, la cruauté du capitalisme, la corruption générale, la détresse des exilés, l’incompréhension, la soumission humiliante, la catastrophe climatique.”

 

Article in Compétence Photo
January 2022
« Suffused with an energy as improbable as impenetrable, his pictures keep torning us between opposed feelings, from the enchanting aerial escape to the bitter fascination of abyssal turmoils. Must one glimpse the cry of powerlessness or, on the contrary, the call for an existential reinvention? »

Chronicle on blog 5ruedu.fr by Frédéric Martin
December 20th 2021

« The Eclipse must be read. Entirely. Taking one’s time, one’s breath, holding a long breathing, and plunging. Because this book is not just a book of photographs. Because this book will lose us in a labyrinth of questions, before taking us just directly above the solar star. »

Jean-Jacques Farré about The Eclipse LIKE magazine / touslesjourscurieux
December 14th 2021
« Stéphane Charpentier’s photographs are learnedly calibrated, close to visual hypnosis. They combine an oneiric force and a sense of politics. »

Article by Caroline Bénichou about The Eclipse and work of Stéphane Charpentier in 9livesmagazine
November 24th 2021
« There are books we are awaiting. A long time. Where others are satisfied and rush once they’ve collected up thirty photographs, there exist photographers who take the time. The time to select with exactingness, the time to know the reasons for this book, the time to meet the publisher who will know how to grasp the intent, the writing, the man, with whom the complicity will give rise to a project having sense. The requirement is not so frequent. »

First article about The Eclipse in L’Intervalle by Fabien Ribéry
November 16th 2021
« Stéphane Charpentier has composed his book like we invent an initiation music to go through the demonic. The street and the hearts burn, the standard is not that of militancy but of absolute poetry, Europe is a Greek water irizated on a spring morning, we try to create new sacred rites on the ruins of the asphyxiated civilizations. At the end of the book, the pages of interviews recorded during many years by the photographer tell the tiredness, the fear of tomorrow, the cruelty of capitalism, the general corruption, the distress of the exiles, the lack of understanding, the humiliating submission, the climatic catastrophe. »

2021, 11, Press

Devenir noir dans la presse

Article de Laurent Albarracin sur Devenir noir paru le 2 novembre 2021 dans Alca-Prologue

” Ce livre (est) un corps, un corps plein et signifiant, et une incarnation terrible.”

” Si le livre est sombre, c’est aussi et d’abord parce qu’il est une dénonciation implacable.”

“Les textes, calibrés au cordeau pour pouvoir s’imbriquer exactement, semblent saturer la page, l’emplir peu à peu de noir dans une sorte de trop-plein de sens, de recouvrement littéral, comme si les textes sur la page manifestaient visuellement, dans un fondu au noir permanent, leur propre disparition programmée.”

Podcast sur le livre Devenir noir de Donatien Garnier réalisé par Anne-Frédérique Fer pour FranceFineArt – 1er novembre 2021

Article paru dans Junkpage – octobre 2021
“Un livre qui joue sur les dynamiques de saturation et décodage”

2020, 02, Press

Odysseus dans la presse

quelques articles parus au sujet d’Odysseus, de novembre à juin 2020, avec une parenthèse au milieu.

Marianne / Nicolas Dutent / Andrea Marcolongo / juin 2020
Une Odyssée vêtue de bleu, d’éternité
L’autre monde, c’est le mythe ancien et pourtant persistant. C’est aussi le titre du beau livre que le photogrpahe Michaël Duperrin, voyageur et voisin de la mer fait paraître aux bien nommées éditions sun/sun. ce périple photographique ressuscite un procédé, le cyanotype, et refait par l’image et le texte le parcours d’Ulysse, dont on croirait entendre les pas. Une Odyssée vêtue de bleu, d’éternité.

Le monde de la photo / Benjamin Favier / février 2020
– Cathartique artistique –
La forme tient une place prépondérante. Mise page du texte et photos bleu nuit, tirées en cyanotype et imprimées en BMJN, façonnent un décor intemporel. Les contributions de Pierre Bergounioux et Thierry Fabre offrent deux lectures complémentaires sur ce beau songe bleuté.

Fisheye Magazine Web / Lou Tsatsas / février 2020
– Une épopée personnelle –
En jouant avec les époques, le concret et l’imaginaire, le photographe réalise un objet d’art, dont les représentations spectrales et abstraites redonnent au récit classique une bouffée d’air frais.
Pensé comme une œuvre totale, Odysseus l’autre monde ne laisse rien au hasard.
« Le choix du papier, avec sa tonalité légèrement chaude qui contraste avec la froideur du bleu, son toucher sensuel, la composition du texte, la technique de reliure, le format renvoient à la notion d’incarnation »

Viens Voir / Bruno Dubreuil / février 2020
Odysseus, une épopée contemporaine… un prélude à la dilution de l’auteur dans l’imaginaire du lecteur.

L’intervalle / Fabien Ribéry / février 2020
– L’image fantôme –
« …superbe Odysseus, l’autre monde, livre méditerranéen reprenant le chemin d’errance du héros grec… Construisant ses livres comme on plonge dans l’immémorial pour y rencontrer des fantômes et la source même de notre être au monde, Michaël Duperrin travaille avec les ombres, les passions enfouies, les puissances souterraines. »

Fisheye Magazine / janvier 2020
C’est un livre d’une grande poésie que viennent de publier les éditions Sun/Sun. Michaël Duperrin s’est embarqué dans le sillage d’Ulysse et de ses exégètes avec son regard rêveur que transcrivent à merveille ses images tirées en cyanotype, ce procédé ancien qui nous fait basculer dans les bleus profonds, comme ceux de la Méditerranée. Son journal de bord qui accompagne le voyage – coulé lui aussi en encre bleue – prolonge à merveille cette odyssée.

La critique / Christian Gattinoni / décembre 2019
– Odysseus, un reboot photographique –
À l’ensemble des photographies réalisées en cyanotype répond un long texte aux qualités littéraires accompagnant le récit des déplacements en Méditerranée du photographe.

L’intervalle / Fabien Ribéry / novembre 2019
C’est un double récit, en textes et photographies, de Michaël Duperrin, s’élevant dans la substance du cyanotype, qui est un tirage en bleu de Prusse de procédé ancien. Odysseus est un carnet de voyage circulaire.
” Homère raconte des histoires, comme Michael Duperrin et Thomas Vinau. Parce que nous sommes troués, chus, piétinés, parfaitement survivants, et créateurs de mondes.”

 

08, 2018, Press

Noces ou les confins sauvages / Les inrockuptibles / article

Média : Les Inrockuptibles
Date : août 2018

07, 2018, Press

Pierre Terzian "Amours et Paix" @ La Presse, Québec by Mario Cloutier

Le journaliste québécois Mario Cloutier mettait cet été Pierre Terzian à l’honneur dans le journal La Presse > article entier ici.

06, 2018, Press

Noces ou les confins sauvages / ToutMa

Une magnifique promenade photographique…

Média : ToutMa – numéro 50 été 2018
Date : juin 2018
Auteur : Olivier Emran

Media: ToutMa – numéro 50 été 2018
Date: juin 2018
Author: Olivier Emran

05, 2018, Press

Noces ou les confins sauvages / Compétences Photo / article

Merveilleuse encyclie

Média : Compétence Photo
Date : mai 2018
Auteur : Gérald Vidamment

Media: Compétence Photo
Date: mai 2018
Author: Gérald Vidamment